Ibtihal Abou Saad, ingénieure et programmeuse marocaine diplômée de l’université de Harvard, est l’une des personnalités les plus remarquées dans le domaine de l’intelligence artificielle. Elle a travaillé chez Microsoft, où elle faisait partie de l’équipe qui a développé des technologies avancées dans ce domaine. Mais au lieu de profiter de ces immenses opportunités scientifiques pour renforcer la position du Maroc et du monde islamique, elle a décidé de s’engager dans des activités politiques, adoptant des positions anti-Israël. Qu’est-ce qui l’a poussée à prendre cette décision ? Peut-on considérer ce qu’elle a fait comme un pas dans la bonne direction, ou bien y a-t-il un gâchis de l’avenir d’un pays entier dans sa quête de se faire une place sur la scène politique internationale ?
Le début : Ibtihal, née à Rabat en 1999, a obtenu une bourse d’études des États-Unis, ce qui lui a permis d’entrer à l’université de Harvard où elle s’est spécialisée dans l’informatique et l’intelligence artificielle. Elle a été l’une des participantes du programme « Tech Girls » qui vise à promouvoir les compétences techniques chez les filles dans les régions du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, et c’est de là qu’a commencé sa carrière, qui semblait se diriger vers une véritable contribution pour son pays.
Les contradictions dans sa carrière : Mais la surprise réside dans son choix de prendre des positions politiques au détriment de la science et du progrès technologique. Au lieu d’utiliser ses compétences technologiques pour son pays, elle a choisi de s’engager dans des activités contre Israël, profitant de la célébration des 50 ans de la fondation de Microsoft pour lui adresser des critiques sévères concernant sa complicité avec l’occupation israélienne.
Des questions légitimes : Pourquoi Ibtihal a-t-elle décidé de s’engager dans des activités politiques au lieu de profiter des opportunités qui lui étaient offertes pour développer ses compétences scientifiques ? Les opportunités qu’elle a obtenues des États-Unis et de Microsoft n’étaient-elles pas capables de renforcer la position du Maroc dans les domaines scientifiques et technologiques ? Était-ce une décision bénéfique ou bien un recul dans sa carrière au profit d’objectifs politiques ? N’aurait-il pas été plus judicieux pour elle de revenir dans son pays et d’utiliser ses connaissances et ses technologies pour contribuer à la renaissance nationale, plutôt que de devenir une partie du mouvement politique international ?
Les critiques des positions politiques : Ibtihal a déclaré à plusieurs reprises que son travail chez Microsoft contribuait indirectement au soutien de l’occupation israélienne à travers les technologies d’intelligence artificielle utilisées pour surveiller les Palestiniens. Bien que les critiques qu’elle a adressées à Microsoft puissent être justifiées sur le plan éthique, de nombreuses questions demeurent sur l’impact de ces positions politiques sur son avenir scientifique et personnel. Aurait-elle réellement pu obtenir un plus grand succès dans son domaine si elle s’était concentrée sur le développement de nouvelles technologies au service de l’humanité, au lieu de tourner le dos aux opportunités offertes par des entreprises géantes comme Microsoft ?
Le point principal du sujet : Les contributions des personnalités de renom dans les domaines de la science et de la technologie sont censées être une arme pour le bien, et non pour la polémique politique. Mais avec l’apparition de positions comme celles adoptées par Ibtihal, de nombreuses questions se posent sur l’équilibre entre le travail scientifique et les positions politiques. A-t-elle le droit d’utiliser sa position dans une entreprise mondiale pour prendre position contre certaines causes, ou doit-elle faire preuve de neutralité scientifique ? N’aurait-il pas été préférable pour elle de se concentrer sur la fourniture de solutions technologiques dans d’autres domaines plutôt que de s’engager dans des questions politiques qui pourraient nuire à son avenir ?
Conclusion : Ibtihal Abou Saad représente un exemple unique d’ingénieure marocaine qui a su saisir les opportunités qui s’offraient à elle, mais qui a choisi de suivre une voie politique contraire à ses ambitions scientifiques.
Est-ce une décision sage ou l’avenir nous prouvera-t-il que sa quête politique a sacrifié son succès scientifique ? Cette question reste en suspens, d’autant plus que sa carrière dans le domaine de l’intelligence artificielle se poursuit, tout comme ses interactions avec les enjeux politiques internationaux.