À une époque où les rythmes s’accélèrent et où les tendances éphémères dominent la scène musicale, l’artiste marocain Adil Chahir revient avec une nouvelle œuvre intitulée « Siri Bye Bye », véritable hommage à l’identité marocaine authentique, et message affirmant que l’art peut être moderne sans renier ses racines.
Le vidéoclip, diffusé sur la chaîne YouTube officielle de l’artiste ainsi que sur les ondes des radios nationales et arabes, est bien plus qu’une simple chanson ; c’est une fresque visuelle et musicale façonnée par le talent de Rachid Touizi (paroles et composition), arrangée par Karim El Oukili, et immortalisée en images dans sa ville natale de Meknès sous la direction du réalisateur Mohamed Lharazli, qui a su intégrer avec finesse les éléments riches et variés du patrimoine marocain pour en faire partie intégrante de l’histoire visuelle du titre.
Une continuité dans un parcours artistique progressif
« Siri Bye Bye » s’inscrit dans la continuité du succès de « Ya Loubana », morceau issu d’une collaboration avec l’artiste Mounim Slimani, qui a rencontré un large écho et engrangé des milliers de vues. Entre ce titre et le précédent, Chahir prépare activement de nouvelles chansons, dont une collaboration surprise avec une grande figure de la scène musicale marocaine.
Des mariages locaux aux scènes internationales
Originaire de Meknès et résidant aujourd’hui en France, Adil Chahir n’a pas fait ses débuts à travers les programmes de télé-crochet ou les grands studios, mais au cœur des fêtes populaires et mariages, où il a affiné sa voix et développé sa présence scénique au contact direct du public, avant de se produire sur des scènes au-delà des frontières marocaines. Toujours avec, dans ses bagages, la nostalgie de sa ville et le soutien indéfectible de sa famille et de ses amis.
Un message artistique à l’âme authentique
« Siri Bye Bye » n’est pas seulement une chanson d’adieu, mais une déclaration de fidélité à l’âme et à l’identité marocaines, même à des milliers de kilomètres de chez lui. Une œuvre qui marie modernité musicale et esprit patrimonial, prouvant que l’art marocain est capable de s’adresser au monde entier en conjuguant créativité et racines.
